Cette pathologie virale est essentiellement hivernale, mais dès maintenant je peux la prévenir.
Comment cela se fait que lorsque je suis malade, mon entourage ne l’est pas forcément ?
Et cette amie à qui je fais la bise tous les jours et qui est entourée de personnes grippées mais qui semble toujours être au top de sa forme ?
Comment fait-elle ?
Est-elle vaccinée ? Non, elle déteste les piqûres… Et puis il arrive régulièrement que les personnes vaccinées attrapent quand même la grippe. Surtout que le problème des vaccins est leur adjuvant. Ils contiennent souvent des éléments d’aluminium (adjuvant aluminique), qui sont donc dans la liste des métaux lourds, et qui peuvent endommager mes organes (foie, système nerveux central avec problèmes neurologiques) ou générer des maladies auto-immunes.
Mais quel est donc son secret ?
En regardant un peu plus autour de moi, je me rends compte qu’on ne réagit pas tous de la même manière à la grippe.
Certaines personnes développeront une forme aggravée de la grippe et d’autres iront du simple frisson à la grande fièvre, de la simple courbature de 24h à une immobilisation au lit pour 8 jours, du simple éternuement au catarrhe occulo-nasal, transformant leur nez en fontaine.
Alors pourquoi tant de disparité ?
Cela dépend notamment de la force vitale et de l’homéostasie (équilibre) de mon corps. Qui ne sont évidemment pas identiques à celles des autres.
Quelles sont les clés pour que mon corps soit suffisamment costaud pour me préserver de la grippe ?
La principale clé est d’avoir l’hygiène de vie qui est la plus adaptée à ma physiologie.
Pour renforcer mon immunité, je veille à mon hygiène de vie
En effet, une bonne hygiène de vie permet à mon organisme d’être à l’optimum. En naturopathie cela repose sur une alimentation adaptée, une activité physique régulière et une bonne gestion de mon stress.
Avoir une alimentation adaptée
Le matin, je me lève (de bonne humeur) et je bois un grand verre d'eau. Je peux en prendre un second d'eau tiède additionnée de jus de citron.
Je privilégie un petit déjeuner gras et protéinés :
des oeufs au plat ou à la coque afin de profiter des oméga 3 des jaunes crus. Je choisi des œufs de bonne qualité dont les poules ont gambadé dehors et ont été nourri avec des graines de lin.
Des poissons gras : sardines, maquereaux, foies de morue, harengs. Ils offrent des protéines et des lipides et permettent d’enrichir mon alimentation en oméga 3, surtout si je souffre d’inflammation.
Des produits laitiers si je ne peux pas m'en passer (notamment fromage et yaourts de chèvre et brebis).
Des tartines de pain complet avec du beurre entier et cru si possible.
Si je ne mange pas de protéines animales, je peux manger :
Des légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots blancs, rouges. Je n’oublie pas pour certaines d’entre elles de les faire tremper 12 heures avant de les cuisiner pour me débarrasser de l’acide phytique qui freine l’assimilation.
Des oléagineux : amandes, noix, noix de cajou, de Macadamia, de pécan, noisettes, pignons, pistache, graines de courge, de tournesols, sésame.
Des graines de chia, de chanvre.
Des champignons frais ou déshydratés comme le shiitaké, excellent pour mon énergie et mon immunité.
Des algues : nori, wakamé, spiruline, haricot de mer, laitue de mer, klamath, kombu, aramé, dulse, agar-agar. Je les trouve prêtes à consommer sous forme de tartare, fraîches à faire dessaler et à cuire une vingtaine de minutes ou déshydratées en paillettes.
Des faux-mages à base de lait végétal et généralement de noix de cajou.
Pour le reste de la journée, j'évite une alimentation trop sucrée, trop grasse.
Je mange les fruits et des légumes de saison tous les jours. Si possible au moins 3 légumes crus par jour et 2 cuits.
Je limite ma consommation de viande en privilégiant au moins 3 poissons par semaine et les champignons tels que le shiitaké (déjà indiqué ci dessus).
Je peux consommer des graines germées, qui abondent de vitamines (C, A, D, E, K, complexe de vitamines B) et de minéraux (phosphore, calcium, magnésium, potassium, fer, sélénium…) qui stimulent mes défenses ! Ce sont aussi de très bonnes sources d’antioxydants, d’acides aminés bio-disponibles et de fibres alimentaires.
Et j’évite l’alcool, le tabac, les laitages (surtout s’ils ne sont pas de qualité) et les pollutions atmosphériques (notamment à la maison les aérosols de parfum de synthèse).
A 16h, l’heure du goûter, je me prends une cure de vitamine C avec une belle salade de fruits de saison enrichie en fruits rouges (congelés s’il n’y en a plus dans le jardin) et d’oléagineux.
Je peux saupoudrer ma salade de cannelle. Je peux me prendre en complément une infusion de citron ou des yogis tea (chai curcuma, bonheur, énergie vitale…). je peux également prendre cette infusion le matin ou au long de la journée, en plus de l’eau).
L'alimentation est donc un des piliers fondamental d'une bonne hygiène de vie. Mais qu'est-ce que manger sans se mouvoir ?
Je garde une activité physique régulière
Avec le froid qui s’installe et les jours qui se raccourcissent, ce n’est pas toujours évident de garder un rythme sportif. Pourtant c’est idéal de continuer de me mouvoir dans un moment comme celui-ci. Alors même s’il s’agit de marche ou de yoga, je continue de faire régulièrement un peu de sport.
Le sport m'apporte des endorphines et me fait du bien. Tout comme le fait d'apprendre à gérer mon stress.
Je gère mon stress
Il est démontré que le stress a un fort impact sur nos intestins. Or l’intestin grêle est l’organe-clé de l’immunité, de ma défense immunitaire globale. Ainsi il est important d’apprendre à gérer mon stress pour optimiser mon immunité.
Pour cela je peux notamment commencer par la respiration. De nombreux exercices sont disponibles sur internet.
Mais je peux déjà retrouver l’exercice de la respiration profonde sur la page FB d’Apolline Astier Naturopathe (https://www.facebook.com/apollineastiernaturo/photos/a.2505836746310013/2662997777260575/?type=3&theater).
Je peux également aller me faire masser ou profiter d'une bonne réflexologie plantaire.
Astuces supplémentaires :
Ma meilleure amie pendant la période de grippe est l’huile essentielle de ravinstara (cinnamomum camphora ct cinéol). Je me masse la partie interne du poignet et la respire profondément jusqu’à 3 fois par jour si je suis entourée de malades ou bien chaque matin avant de partir travailler.
Je peux prendre du plasma de Quinton isotonique chaque matin et chaque soir.
Le Plasma de Quinton est de l’eau de mer. Il contient tous les oligo-éléments (hautement assimilables) dont mon corps à besoin. De plus, l’eau de Quinton présente une dispersion ionique de ces oligo-éléments qui sont directement assimilables, peu importe mon degré d’énergie ou la porosité de ma paroi intestinale. Enfin, le plasma de Quinton présente les mêmes concentrations en oligo-éléments que le plasma sanguin.
L’idéal est que je l’achète en bouteille. Cela me reviendra bien moins cher qu’en ampoules.
Je peux également me régaler des produits de la ruche. Comme la gelée royale, ou le pollen.
Bon, j’avoue que ça n’est pas toujours évident de les apprécier la première fois mais on fini par s'y habituer.
Je peux également prendre du cuivre or argent en oligothérapie. Chaque matin une dose.
Si j'ai des doutes, je n'hésite pas à en parler à mon médecin et/ou mon naturopathe.
Si malgré tout, la grippe me surprends, j'ai encore dans mon sac plein de ressources naturelles à mettre en place !
Que faire si la grippe me rattrape ?
Si la grippe me rattrape malgré tout, dès les premiers symptômes, j’agis ! J'utilise les éléments de ma pharmacie naturelle, je réadapte mon alimentation, je peux utiliser certaines huiles essentielles. Mais surtout, je respecte ma fièvre.
Ma pharmacie naturelle
J’ai toujours dans ma super pharmacie naturelle : du quinton (eau de mer) et du magnésium.
Je me prends 3 ampoules de quinton hypertonique sous la langue dans la journée, de préférence en dehors des repas et 1 ou 2 sachets dilués de magnésium à boire tout au long de la journée.
Je peux prendre celui de chez synergia : le Dstress Booster qui reste abordable.
En cas de doute, je n'hésite pas à demander l'avis de mon médecin.
J’ai aussi dans ma pharmacie les capsules nez gorge de chez pranarome qui sont constituées d’Huile Essentielle (HE) d’origan. Un anti-infectieux majeur.
Je prends 1 capsule à chaque repas pendant 7 jours maximum.
Les compléments alimentaires c'est un bon début mais pour que cela soit plus efficace, il faut également réadapter mon alimentation.
Je réadapte mon alimentation
J’arrête tous les aliments autres que les légumes et les fruits rouges.
Si je peux, je fais un jeûne.
Conseils pour un jeûne facile : le matin, je prends un petit-déjeuner si j’ai un peu faim, ensuite, je bois uniquement de l’eau pure toute la journée. Le lendemain, je reprends un petit-déjeuner à l’heure où j’ai arrêté le petit-déjeuner de la veille ou plus tard si je peux encore tenir le temps que les symptômes disparaissent. Ainsi j’aurai jeûné au moins 24 heures, mais en ne ratant que deux repas! Mon système digestif au repos, mon potentiel vital pourra s’occuper de combattre la fièvre.
/!\ Pendant mon jeûne, j'évite de prendre les capsules d'origan qui peuvent être irritantes à jeun.
Sinon je fais une monodiète (c’est-à-dire ne manger qu’un seul aliment sur la journée).
Ou, si vraiment cela m’est trop difficile, je mange seulement des légumes de saison et des fruits rouges.
Allégeant ma digestion et donc le travail pour mon foie, mon corps guérira que plus rapidement.
Les aliments +++ : jus de carotte, huîtres, cresson, oignon, thym, chou, légumes verts, ail, miel, shiitake, choucroute, fraise, kiwi, mûre, sureau fruit, citron, cynorhodon, cassis. Les concombres, la courge d’hiver, le céleri branche, le rutabaga, hydratent les cellules affaiblies.
Les aliments --- : les aliments raffinés, les aliments à base de farine, la viande, les laitages et les sucreries. Mais aussi: café, thé, margarine, sucre blanc, confiture industrielle, muesli, pain multicéréales, pizza, lasagne, l’alcool, les fritures, soda et sirop.
Quoi qu’il en soit, je continue de bien m’hydrater régulièrement avec de l’eau peu minéralisée. En effet si l’on meurt de la grippe aujourd’hui, c’est avant tout de déshydratation et parce qu’on a de très mauvaises défenses immunitaires.
Si je suis vraiment abattu(e), je peux manger essentiellement hydrique (soupe, bouillon, jus de légumes – carotte, betterave, concombre-), mais j’essaye malgré tout de mâcher ce que j’avale.
Dès que je vais de nouveau mieux et que mes symptômes ont disparus, je réintroduits les différentes catégories d’aliments, progressivement, en fonction de mon régime alimentaire, d’abord les légumes et les fruits, les céréales complètes, les légumineuses (je m’arrête là si je suis végane), les œufs, le fromage (je m’arrête là si je suis végétarien(ne)), les poissons et la viande.
Et si j'ai de la fièvre ? Qu'est-ce que je fais ?
Je respecte ma fièvre
Un autre réflexe à avoir, c’est de respecter ma fièvre, qui permet de tuer le virus.
Il est important de contrôler ma température mais il faut comprendre que son élévation est physiologique.
En effet, elle lutte contre le développement des bactéries et des virus.
Jusqu’à 38,5 °C, elle doit être surveillée mais, contrairement aux idées reçues, mieux vaut éviter de prendre des médicaments comme le paracétamol ou l’aspirine, par exemple, qui sont à réserver pour des situations plus graves (pour lesquelles je dois avoir consulté mon médecin).
J’aime donc ma fièvre qui est la démonstration que mon corps lutte pour guérir. Je fais tout pour la soutenir.
Je peux alors me préparer une infusion d’1l à boire tout au long de la journée de feuilles de cassis (Ribes nigrum) et de feuilles d’aigremoine (Agrimonia eupatorio) avec un morceau de gingembre (Zingiber officinale). L’aigremoine est une plante antivirale qui possède de nombreuses autres propriétés très intéressantes pour lutter contre la grippe, mais en son absence une branche de thym (Thymus vulgaris) pourra faire l’affaire. Je peux rajouter également le jus d’l citron.
Pas de sucre, excepté un miel de qualité si je fais un jeûne ou une monodiète de légumes, dans les autres cas, le miel annule la digestion de l’amidon, alourdissant ainsi la digestion et donc le travail du foie.
En revanche si ma fièvre est trop élevée et dérangeante, je peux à l'aide de bains, la faire baisser en douceur.
Je fais baisser ma fièvre grâce aux bains :
Complet :
Si j’ai une baignoire à la maison, je peux me prendre un bain.
Tout d'abord, je dilue quelques gouttes de ravintsara associées avec la lavande (Lavandula officinalis), et, s’il n’y a pas d’irritation particulière, que je ne m’expose pas au soleil dans les 12h qui suivent et que j’ai plus de 12 ans, je peux rajouter quelques gouttes d’HE de citron (citrus limon) et d’eucalyptus radié (eucalyptus radiata) dans 1 verre de lait entier de préférence ou une boisson végétale (avoine par exemple).
Puis je fais couler un bain qui a actuellement la température de mon corps. Je fais attention à ne pas trop remplir la baignoire puisque par la suite je vais y rajouter de l'eau.
J'y verse le verre de lait.
Je me mets dans mon bain et petit à petit, j'ajoute de l’eau froide afin d’en abaisser la température jusqu’à 37 °C.
De cette manière là mon corps ne sera pas choqué par la différence de température.
De pieds :
Si je n’ai pas de baignoire, je peux me faire un bain de pieds dans une bassine d’eau suffisamment grande pour que mes 2 pieds y rentrent convenablement.
J’utilise les mêmes huiles essentielles et la même technique de refroidissement de l’eau.
De siège :
Si je suis super motivé(e) je peux également me faire un bain de siège.
Je m’habille suffisamment chaudement – avec pull, chaussettes, chaussons, etc. – pour avoir une sensation générale de chaleur.
Dans une bassine assez grande (pour m’y asseoir), je mets de l’eau froide.
Je plonge mon arrière-train dans la bassine en faisant attention à ne pas mettre trop d’eau pour éviter que ça déborde.
Et dès que la température de l’eau augmente, je change l’eau et je recommence la manœuvre pendant 20-30 minutes.
Je peux le faire 3 à 4 fois/jour. Ce qui devrait aider à faire baisser la fièvre rapidement.
J'ai vu qu'il était possible d’utiliser certaines huiles essentielles dans les bains. Est-ce possible d'en utiliser autrement ?
Mon aromathèque :
Au niveau des huiles essentielles, je peux utiliser le ravinstara (cinnamomum camphora ct cinéol) que je mettrais à mes poignets, derrière mes oreilles, sur ma gorge, sur mes bronches, sur les plis de l’aine et derrière les genoux.
Je peux également mettre de lavande vraie (Lavandula officinalis) sur mon oreiller.
/!\, si je ne sais pas me servir des HE, j’évite de les utiliser.
Il existe encore pleins de méthodes naturelles pour aider mon corps à faire passer la grippe : l’argile verte, les inhalations, le nettoyage du nez… Je n'hésite pas à recourir aux méthodes qui me font du bien.
Dans tous les cas, je n’oublie pas de remercier mon corps ! Car la grippe est un super détoxifiant de l’organisme ! Une belle remise à Zéro.
Voilà, maintenant je sais comment éviter la grippe et le cas échéant m’en défaire. Et je n’oublie pas que la prévention et une bonne hygiène de vie sont la clé de mon bien-être !
/ !\ ces conseils ne me dispensent pas de l’avis d’un médecin : Si les symptômes persistent, consultez le médecin.
Mon petit Bonus :
En bonus sur cette thématique, je peux lire le passage sur la grippe de Jacques Martel, homme qui met des mots sur les maux.
Extrait recopié du livre "Le grand dictionnaire des malaises et des maladies".
« Il s’agit d’un état lié à la présence d’un virus causant fièvre, frissons, maux de tête, douleurs musculaires, éternuements, difficultés respiratoires, etc. La grippe qui atteint mon corps plus violemment qu’un rhume peut me forcer à rester alité pour un certain temps.
Comme la grippe est une maladie infectieuse, elle est liée à la colère ; c’est un signe que rien ne va plus! Je peux me demander qui ou quoi « ai-je pris en grippe », expression voulant dire contre qui ou contre quoi suis-je en colère ? Les symptômes qui se manifestent plus particulièrement m’indiquent davantage ce que je vis présentement : la fièvre est liée à la colère, les éternuements sont liés à la critique, au fait de vouloir se débarrasser de quelqu’un ou d’une situation, etc. Il s’agit souvent d’une situation conflictuelle sur le plan familial : il s’est dit quelque chose ou une situation a été vécue que « je ne peux pas avaler » car des règles ou des limites ont été transgressées. Il y a donc eu une dispute où j’avais l’impression que mon espace vital était violé, ou que je risquais de perdre quelque chose ou quelqu’un qui m’appartenait, à qui je « m’agrippais ». L’influence de certaines personnes de mon entourage peut me faire douter de mon jugement ou de mes capacités à accomplir certaines tâches. S’il s’agit des membres de ma famille, cela est encore plus difficile pour moi, car j’ai cherché toute ma vie à bâtir ma propre personnalité, en me détachant de ma famille. Parce que je cherche toujours à avoir leur approbation (surtout celle de mes parents), je peux devenir confus face à qui je suis vraiment et aux choix que je dois faire. J’ai l’impression que mes défenses intérieures ont disparu. Je suis dérangé par une personne qui incarne une certaine autorité face à moi. Beaucoup de cas de grippe sont attribuables aux croyances enracinées dans la société, à la peur aussi ; par exemple : « J’ai eu tellement froid aujourd’hui ! Je suis certain que je vais attraper la grippe!». Je dois me demander pourquoi j’ai la grippe. Est-ce que j’ai besoin de repos ou d’un temps d’arrêt? Est-ce que je m’oblige à être alité afin de ne pas faire face à mes responsabilités au travail ou dans la famille, etc. ? J’ai peu confiance en moi, je me laisse influencer par les autres et peut-être aussi même à me laisser envahir; le virus de la grippe fait de même et s’infiltre dans mon corps, car mon système immunitaire s’est « affaibli » par ma « faible » estime de moi. Je suis dans une situation où je résiste, car j’ai de grands efforts à faire dans ma vie de tous les jours et j’ai envie de baisser les bras. La grippe peut aussi apparaître à la suite d’une situation où j’ai vécu un grand désappointement, une grande déception ou une frustration qui m’amène à vouloir ne plus sentir ce qui se passe autour de moi (nez congestionné), une personne (« je ne suis plus capable de la sentir »), provoquant ainsi une respiration plus difficile. Cependant, la fièvre libère mon corps de toxines qui n’ont pu sortir autrement.
J’accepte d’exprimer mes émotions et de laisser couler mes larmes afin de décongestionner tout mon corps et pour que l’harmonie s’installe ».
Et vous ? Avez-vous ou connaissez vous d'autres méthodes pour se soigner de la grippe naturellement ?
Si c'est le cas, n'hésitez pas à laisser un commentaire ! De même si cet article vous a plu.
Tendrement,
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